Credo de Enzo Cormann

avec Catherine Vernerie

mise en scène, lumières : Stefano Fogher

Une femme seule.

Un monologue.

Une histoire, des histoires : dures, glauques, drôle  et touchantes.

Mais à qui elle parle ? A un absent ?

A elle-même ?

A nous ?

On croit la reconnaitre, la comprendre : trop facile ! Elle nous manipule.

Une comédienne qu'invente le théâtre pendant que le théâtre l'invente.

 

 

"Moi-même, tu le sais bien, je ne suis qu'une collection de mots et de bruits. De jupe qu'on froisse, de colère qu'on retient. De mal aussi ; de ventre et de têtes broyées.

Es-que tu sens comme tout cela est transparent ?"

 

 

 

 

 

 

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